Merci, merci à vous Père éternel, qui ne m'avez pas méprisée moi, votre créature, qui n'avez pas détourné de moi votre visage, mais avez au contraire exaucé mes désirs. Vous la lumière, vous n'avez pas regardé à mes ténèbres; vous la vie, vous ne m'avez pas repoussée, moi qui suis la mort. Vous le médecin, vous n'avez pas fui de moi, à cause de mes graves infirmités. Vous pureté éternelle, vous n'avez pas été rebuté par mes innombrables souillures. Vous l'infini, vos yeux se sont abaissés sur moi, qui suis finie. Vous la Sagesse, vous avez condescendu à ma folie. Ni le nombre ni l'énormité de mes fautes n'ont arrêté votre sagesse, votre bonté, votre clémence, votre bien infini; vous ne m'avez point méprisée, malgré les innombrables misères qui sont en moi. Votre clémence m'a fait connaitre la vérité et avec elle j'ai troublé votre charité et l'amour du prochain. Et qui donc vous a déterminé? Pas mes vertus assurément, mais votre amour, uniquement votre amour! C'est votre amour qui vous a porté à éclairer mon intelligence de la lumière de la foi, pour que je puisse connaitre et entendre la vérité que vous m'avez révélée.
O trinité éternelle, dans votre lumière, que vous m'avez donnée et que j'ai reçue, avec la lumière de la très sainte foi, j'ai connu, par des instructions aussi nombreuses qu'admirables, la voie de la grande perfection. Vous me l'avez montrée, pour que je vous serve dans la lumière et non dans les ténèbres, pour que je sois un miroir de bonne et sainte vie, et que je renonce enfin à cette existence misérable où, jusqu'ici et par ma faute, je vous ai servi dans les ténèbres.
Je ne connaissais pas votre vérité, voilà pourquoi je ne l'ai pas aimée! Et pourquoi vous ai-je ignoré? Parce que je ne vous voyais pas à la glorieuse lumière de la très sainte foi, parce que la nuée de l'amour-propre obscurcissait l'œil de mon esprit! Et c'est vous, Trinité éternelle, qui par votre lumière avez dispersé ces ténèbres. Qui donc pourra s'élever jusqu'à votre hauteur, pour vous remercier de vos largesses divines et de l'immense bienfait que vous m'avez accordé, par cette doctrine de vérité? C'est vous-même qui me l'avez apprise, elle est un don particulier que vous m'avez fait, en dehors des grâces communes que vous répandez sur les autres créatures! Vous avez voulu condescendre à ma nécessité et à celle des autres âmes qui voudront y trouver un miroir de vie.
Mais répondez vous-même, Seigneur, à tant de bienfaits! C'est vous qui avez donné, remerciez vous-même et rendez grâces en répandant en moi une lumière surnaturelle, afin que par cette lumière je puisse vous dire ma reconnaissance. Revêtez-moi, vérité éternelle, revêtez-moi de vous-même, pour que je passe cette vie mortelle dans la véritable obéissance et dans la lumière de la foi très sainte, dont vous avez à nouveau enivré mon âme.
Merci pour cette belle prière, j'ai tant besoin d'être aidée en demandant au Seigneur, à Notre Maman du ciel, à Sainte Catherine les prières d'intercession afin que soit accordé à mon fils A.J.T une guérison rapide et definitive. Qu'il accepte de rester en clinique jusqu'à la guérison si telle est la volonté du Seigneur.T
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