O Jésus, mon bien-aimé Jésus, je Vous aime beaucoup plus que je ne puis Vous le dire. Jésus, mon Époux, mon Trésor, je souffre de Vous voir si peu connu et tant offensé! Jésus, ma Vie et ma Lumière, puissent tous les esprits Vous connaitre, tous les cœurs Vous aimer et toutes les langues Vous louer maintenant et à jamais! Amen.
Bulletin Sagesse, 54 rue de la Paix F-40700 Doazit
Notre collection et publication continuée des trésors en langue française de la piété catholique
mercredi 20 mai 2009
mercredi 6 mai 2009
Prière à Notre-Dame du Laus
Souvenez vous, ô Notre-Dame du Laus, de la parole que vous avez dite à la Vénérable Sœur Benoîte: "J'ai demandé le Laus à mon Divin Fils pour la conversion des pécheurs et il me l'a octroyé". Par ces paroles vous nous révélez une fois de plus la miséricordieuse sollicitude que vous avez pour vos enfants et la confiance sans bornes que nous devons avoir en vous. O ma bonne Mère, qui êtes toute puissante sur le Cœur de Jésus et qui m'avez en si grande pitié, obtenez-moi la grâce que je désire tant à cette heure et accompagnez-la d'une bénédiction qui me fortifie durant ma vie, me défende au moment de la mort et me conduise à la bienheureuse éternité. Ainsi soit-il. Pater, Ave, Gloria.
Notre-Dame du Laus, Refuge des pécheurs, priez pour nous qui avons recours à vous. (50 jours d'indulgence)
Avec permission de l'Ordinaire
Notre-Dame du Laus, Refuge des pécheurs, priez pour nous qui avons recours à vous. (50 jours d'indulgence)
Avec permission de l'Ordinaire
lundi 4 mai 2009
Prière à Notre-Dame du Laus
Reine du Laus, aimable et tendre Mère,
Prête l'oreille à nos pieux accents.
Toujours ton Fils exauce ta prière,
Oh! toi toujours exauce tes enfants.
Sans te lasser, ô Vierge toute pure,
Du haut du ciel veille sur notre cœur.
Ne permets pas que la moindre souillure
Puisse en ternir la céleste blancheur.
Sois notre appui, Vierge toute puissante,
Dans la vertu guide nos faibles pas.
Si nous glissons, Mère compatissante,
Avec bonté reçois-nous dans tes bras.
Ah! prête-nous un abri sous tes ailes,
Quand la tempête éclate avec fureur,
Épargne-nous les angoisses cruelles,
Les noirs remords qui troublent le pécheur.
Ah! laisse-nous jusqu'à l'heure dernière,
Dormir en paix sur ton sein maternel.
Et qu'au réveil, en rouvrant la paupière,
Nous te voyions dans les splendeurs du ciel.
Notre-Dame du Laus, refuge des pécheurs,
Priez pour nous qui avons recours à vous.
dimanche 3 mai 2009
vendredi 1 mai 2009
Prière en l'honneur de la Très Sainte Vierge attribuée à Saint Éphrem
Encensoir doré, lampe étincelante, vase éblouissant où se trouve la manne du ciel; table qui montre aux mortels la loi écrite, arche véritable, charte toute pleine de Dieu, vierge surpassant toutes les autres en prudence, en sagesse et en lumière; très sainte consolatrice, guide de l'univers, jeune fille plus que toute autre sanctifiée! O buisson ardent qui ne peut s'éteindre, jardin ouvert, rameau verdoyant d'Aaron: vous êtes vraiment un rameau verdoyant et la fleur en est votre Fils. Car de la souche de David et de Salomon a surgi le Christ notre Créateur, le Dieu et Seigneur tout-puissant, le seul Très-Haut. Vous avez enfanté un Dieu-homme et vous êtes demeurée vierge avant et après la naissance. Lorsque Dieu, votre Créateur, a pris chair dans votre sein virginal sans l'intermédiaire d'un homme, il n'a point brisé les verrous de la porte de l'Orient, toujours fermée. Il vous a laissée, ô Vierge glorieuse, telle que vous étiez avant qu'il naquît.
Par vous, nous avons été réconciliés avec le Christ notre Dieu, votre très doux Fils. Vous êtes l'unique avocate et l'unique secours des pécheurs et de ceux qui sont privés d'assistance. Vous êtes le port tranquille des naufragés, la consolation du monde. Vous protégez les orphelins, vous rachetez et libérez les prisonniers. Vous êtes la joie des malades, la consolation des affligés, et le salut de tous. Vous êtes le soutien des religieuses et des moines et l'espoir de ceux qui vivent dans le monde. Vous êtes la gloire, la couronne et l'allégresse des jeunes filles. Vous êtes la joie du monde, ô maitresse sublime, reine bénie, jeune fille illustre et la plus pure de toutes les Reines. A l'abri de votre miséricorde nous nous réfugions, sainte Mère de Dieu; sous les ailes de votre bonté et de votre pitié, protégez-nous et gardez-nous. Sous votre protection, nous sommes pleinement en sureté. C'est pourquoi nous nous réfugions vers vous seule et nous tombons à genoux devant vous en pleurant, ô Mère bienheureuse. Nous demandons humblement que votre Fils, notre Sauveur et le Dispensateur de toute vie, ne nous efface pas de la terre en raison de nos fautes innombrables, ne jette pas nos pauvres âmes aux lions, et ne nous abatte pas comme un figuier stérile.
Remplissez donc notre bouche de votre douceur, ô notre Dame, et illuminez notre esprit, ô pleine de grâce. Faites mouvoir notre langue et nos lèvres pour que nous puissions avec joie et empressement chanter votre louange, et surtout ce doux chant des anges que Gabriel entonna pour vous à Nazareth, ô Vierge, Mère immaculée de notre Dieu!
Par vous, nous avons été réconciliés avec le Christ notre Dieu, votre très doux Fils. Vous êtes l'unique avocate et l'unique secours des pécheurs et de ceux qui sont privés d'assistance. Vous êtes le port tranquille des naufragés, la consolation du monde. Vous protégez les orphelins, vous rachetez et libérez les prisonniers. Vous êtes la joie des malades, la consolation des affligés, et le salut de tous. Vous êtes le soutien des religieuses et des moines et l'espoir de ceux qui vivent dans le monde. Vous êtes la gloire, la couronne et l'allégresse des jeunes filles. Vous êtes la joie du monde, ô maitresse sublime, reine bénie, jeune fille illustre et la plus pure de toutes les Reines. A l'abri de votre miséricorde nous nous réfugions, sainte Mère de Dieu; sous les ailes de votre bonté et de votre pitié, protégez-nous et gardez-nous. Sous votre protection, nous sommes pleinement en sureté. C'est pourquoi nous nous réfugions vers vous seule et nous tombons à genoux devant vous en pleurant, ô Mère bienheureuse. Nous demandons humblement que votre Fils, notre Sauveur et le Dispensateur de toute vie, ne nous efface pas de la terre en raison de nos fautes innombrables, ne jette pas nos pauvres âmes aux lions, et ne nous abatte pas comme un figuier stérile.
Remplissez donc notre bouche de votre douceur, ô notre Dame, et illuminez notre esprit, ô pleine de grâce. Faites mouvoir notre langue et nos lèvres pour que nous puissions avec joie et empressement chanter votre louange, et surtout ce doux chant des anges que Gabriel entonna pour vous à Nazareth, ô Vierge, Mère immaculée de notre Dieu!