Considérons la grande bonté de Jésus-Christ envers nous. S'il permet qu'on l'aide à porter sa Croix, ce n'est pas qu'il manque de force, étant celui qui soutient l'univers; mais il veut nous enseigner à unir nos souffrances aux siennes, et à partager avec lui son calice d'amertume.
O Jésus, notre Maître, vous en avez bu le plus amer, et vous ne nous en avez laissé que la plus petite partie. Ne permettez pas que nous soyons assez ennemis de nous-mêmes pour la refuser. Faites, au contraire, que nous l'acceptions volontiers, afin de nous rendre dignes de participer aux torrents de délices dont vous enivrez vos élus dans la terre des vivants.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire