Souvenez-Vous, ô divin Enfant Jésus, de la promesse si douce que vous avez daigné faire vous-même à votre dévote servante, la vénérable Marguerite du Saint-Sacrement, lorsque vous lui disiez ces paroles si pleines de consolation pour notre coeur triste et accablé: "Recours à mon Coeur, et chaque fois que tu voudras obentir une grâce, ne manque jamais de me la demander par les mérites de ma sainte Enfance, car je ne te la refuserai point." Rempli de confiance en votre parole, ô divin Enfant Jésus, si miséricordieux et toujours fidèle dans vos promesses, je viens à vos pieds vous exposer mes peines. Aidez-moi à mener une vie sainte, afin d'arriver sûrement à l'éternelle patrie, et par les mérites de votre Incarnation et de votre sainte Enfance, ô divin Enfant Jésus, par l'intercession aussi de votre auguste Mère et des saints archanges Michel et Gabriel, daignez m'accorder la grâce que je sollicite... Je l'implore avec la plus vive instance, car vous savez combien j'en ai besoin. Non, non, ô doux Enfant Jésus, je ne serai point trompé dans mon espérance. Je me jette dans les bras de votre tendresse, de votre miséricorde et de votre puissance, persuadé que vous écouterez ma prière et que je ne me relèverai pas de vos pieds sans avoir été consolé et exaucé. Ainsi soit-il.
Imprimatur: Argentinae, die 9° mai 1952, L. Neppel, v.g.
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