vendredi 28 avril 2006
Les Mosaïques du Rosaire à Lourdes
Intérieur de la Basilique du Rosaire:
de gauche à droite et de haut en bas:
Le Couronnement de Marie dans les Cieux, l'Annonciation, la Visitation, la Nativité, la Présentation de Jésus au Temple, Jésus retrouvé dans le Temple, Prière de Jésus au jardin des Oliviers, La Flagellation, le Couronnement d'épines, le Chemin du Calvaire, la Crucifixion et mort de Jésus, la Résurrection, l'Ascension, la Descente de l'Esprit Saint, l'Assomption au ciel de la Vierge Marie.
lundi 17 avril 2006
Le Chemin qui conduit à la Vie
Avez-vous lu le "Journal de Gaby"? Si vous ne l'avez pas encore fait, hâtez-vous de vous procurer ce volume dès mainenant à l'adresse ci-dessous. Vous trouverez dans ce volume des textes qui vous surprendront et vous feront sérieusement réfléchir.
Le style est simple, clair et précis où l'on passe de la candeur à la sagesse profonde et à la vérité dans toute sa réalité. Et ce qui doit retenir l'attention c'est qu'on vous présente là un fait vécu et comme un vrai dossier qui date du milieu du siècle passé et qui arrive à son heure. Le signataire du volume n'a fait que présenter les écrits communiqués par une mère de famille d'humble condition et dont il assure l'authenticité.
Pour vous permettre de vous faire une idée de ces écrits, nous vous donnons ci-dessous quelques extraits de ce volume. Les chiffres accompagnant les textes indiquent la référence au texte manuscrit. Nous recevront avec plaisir votre opinion, favorable ou non, après que vous en aurez fait la lecture.
Et comme il est indiqué sur l'endos du livre: "Le lire c'est accepter de prendre position car on ne peut rester indifférent. On accepte le message et on essaie de le vivre ou on le nie pour n'avoir pas à changer ou à sacrifier ce qu'on aime."
Extrais du volume "LE CHEMIN QUI CONDUIT A LA VIE" (Journal de Gaby):
"Ma miséricorde est infinie mais elle n'a jamais été et ne sera jamais aveugle. La doctrine du renoncement, de la prière et de la pénitence a toujours été ma doctrine et le sera toujours, que vous le vouliez ou non, personne ne se sauvera sans cela." (b570)
"Je veux que ces pensées que je t'ai transmises se répandent partout dans le monde, afin que tous et chacun réfléchissent et reconnaissent l'erreur dans laquelle le monde est englouti. Tout ce que vous trouverez dans ces pensées, je l'exige de chacun de vous, hommes, quel que soit votre classe, votre milieu ou votre vocation." (b614)
"Ce que je te dis à toi tient pour tout le monde, car ce que je t'ai demandé à toi, je le demande à tous les hommes qui veulent partager ma gloire un jour. C'est à vous de choisir. Faites vite et bien, car ce sera pour l'éternité, et cette éternité en sera une de bonheur ou de malheur, selon le choix que vous aurez fait dans votre vie. Il y a deux chemins seulement; celui du monde et le mien. N'essayez pourtant pas de concilier les deux, cela vous sera toujours impossible, car l'esprit du monde sera toujours contre moi, et moi, je serai toujours contre l'esprit du monde."
"Ne l'oubliez pas, j'ai maudit le monde et ses plaisirs et je ne modifierai en rien la plus petite de mes lois. Je ne me plierai jamais aux caprices du monde, mais c'est le monde qui devra se plier à ma volonté ou il périra..." (b594)
"Comme le feu et l'eau, le jour et la nuit ne s'associeront jamais, il en est de même pour le monde et moi. C'est l'eurreur dans laquelle la majorité du monde vit. On voudrait bien m'aimer mais, par contre, on ne veut pas renoncer au monde et à son esprit. L'esprit du monde est mon plus grand ennemi, car il est l'esprit de Satan" (b642)
"Je veux que tout ce que je te dis se propage partout dans le monde, surtout que les prêtres de tout l'univers soient mis au courant des écrits qui leur sont adressés." (b655)
"Je ne changerai en rien ma doctrine, et même si cela est contraire aux idées de ce monde moderne, moi je vous dis que le monde devra s'adapter et se soumettre à la doctrine du renoncement, de la prière et de la pénitence ou il se perdra à tout jamais loin de moi." (b674)
"Le monde tient pour fous ceux qui contredisent ses lois et ses idées. Les plus fous ne sont-ce pas ceux qui se soumettent aux lois et aux exigences du monde qui n'est rien en somme, puisque je le tiens dans mes mains et, qu'en un instant, je pourrais le détruire et le réduire en poussière?" (b689)
"Méditez bien, mot pour mot, tout ce que je vous ai dit, et faites-en votre profit, car si vous passez outre ces avertissement, vous vous perdrez à tout jamais." (b695)
"Quand tous ces écrits que j'ai transmis auront commencé à se répandre, j'attendrai un peu pour voir l'attitude du monde, et des prêtres surtout, devant ce que je leur ai dit. Si les prêtres et le monde ne changent pas, je devrai sévir contre le monde de ce siècle, sans aucun autre avertissment..." (b705)
"Il est d'une importance vitale que tous ces écrits se répandent dans le monde. Si les prêtres ne reprennent leur vie de sacrifice qu'aurait dû être la leur, il est inutile de prétendre vouloir changer le monde; ce sera du temps perdu. Le monde a besoin d'exemple pour l'entraîner à faire ce qu'il doit faire." (b706)
"Il est urgent que le monde change, car le temps presse et vous aurez à me rendre compte de toute votre vie." "... Même si je vous parais dur et sévère, sachez que c'est pour votre bien à tous et à chancun, que je dois me montrer sous ce jour." (b708)
"Je vous ai donné l'essentiel. Tout ce que je pourrais ajouter serait des compléments qui ne sont pas nécessaire pour comprendre ce que j'exige de vous, hommes. Méditez bien tout ce que je vous ai dit, et conformez-y votre vie; en ce faisant vous serez sûrs d'être sur le chemin qui conduit vers moi." "... Dans les écrits que je t'ai donnés, vous pouvez facilement être fixés sur mes pensées envers le monde de ce siècle." (b714)
"Oui, cela est très sérieux et très précieux. Des faveurs comme celles-là ne vous seront plus jamais données." "Même si j'étais descendu à nouveau sur la terre, je n'aurais pu vous dire autre chose. Vous avez là toutes mes pensées. Considérez cela comme venant de la bouche même de Dieu, et agissez en conséquence." (360)
Les Editions O.M.D.C., J.A. Lamarche, ptre, C.P. 413, station "C", Montréal, P.Q., Canada, H2L 4K3
Deutschsprachige Version "Der Weg, der zum Leben führt" ist zu beziehen beim Immaculata-Verlag, CH-9050 Appenzell.
Sie auch: Unseren Blog-Beitrag zum Taschenbuch und denjenigen zur Person des Priesters, der die Schriften der Begnadeten und sie selbst betreut hat.
Le style est simple, clair et précis où l'on passe de la candeur à la sagesse profonde et à la vérité dans toute sa réalité. Et ce qui doit retenir l'attention c'est qu'on vous présente là un fait vécu et comme un vrai dossier qui date du milieu du siècle passé et qui arrive à son heure. Le signataire du volume n'a fait que présenter les écrits communiqués par une mère de famille d'humble condition et dont il assure l'authenticité.
Pour vous permettre de vous faire une idée de ces écrits, nous vous donnons ci-dessous quelques extraits de ce volume. Les chiffres accompagnant les textes indiquent la référence au texte manuscrit. Nous recevront avec plaisir votre opinion, favorable ou non, après que vous en aurez fait la lecture.
Et comme il est indiqué sur l'endos du livre: "Le lire c'est accepter de prendre position car on ne peut rester indifférent. On accepte le message et on essaie de le vivre ou on le nie pour n'avoir pas à changer ou à sacrifier ce qu'on aime."
Extrais du volume "LE CHEMIN QUI CONDUIT A LA VIE" (Journal de Gaby):
"Ma miséricorde est infinie mais elle n'a jamais été et ne sera jamais aveugle. La doctrine du renoncement, de la prière et de la pénitence a toujours été ma doctrine et le sera toujours, que vous le vouliez ou non, personne ne se sauvera sans cela." (b570)
"Je veux que ces pensées que je t'ai transmises se répandent partout dans le monde, afin que tous et chacun réfléchissent et reconnaissent l'erreur dans laquelle le monde est englouti. Tout ce que vous trouverez dans ces pensées, je l'exige de chacun de vous, hommes, quel que soit votre classe, votre milieu ou votre vocation." (b614)
"Ce que je te dis à toi tient pour tout le monde, car ce que je t'ai demandé à toi, je le demande à tous les hommes qui veulent partager ma gloire un jour. C'est à vous de choisir. Faites vite et bien, car ce sera pour l'éternité, et cette éternité en sera une de bonheur ou de malheur, selon le choix que vous aurez fait dans votre vie. Il y a deux chemins seulement; celui du monde et le mien. N'essayez pourtant pas de concilier les deux, cela vous sera toujours impossible, car l'esprit du monde sera toujours contre moi, et moi, je serai toujours contre l'esprit du monde."
"Ne l'oubliez pas, j'ai maudit le monde et ses plaisirs et je ne modifierai en rien la plus petite de mes lois. Je ne me plierai jamais aux caprices du monde, mais c'est le monde qui devra se plier à ma volonté ou il périra..." (b594)
"Comme le feu et l'eau, le jour et la nuit ne s'associeront jamais, il en est de même pour le monde et moi. C'est l'eurreur dans laquelle la majorité du monde vit. On voudrait bien m'aimer mais, par contre, on ne veut pas renoncer au monde et à son esprit. L'esprit du monde est mon plus grand ennemi, car il est l'esprit de Satan" (b642)
"Je veux que tout ce que je te dis se propage partout dans le monde, surtout que les prêtres de tout l'univers soient mis au courant des écrits qui leur sont adressés." (b655)
"Je ne changerai en rien ma doctrine, et même si cela est contraire aux idées de ce monde moderne, moi je vous dis que le monde devra s'adapter et se soumettre à la doctrine du renoncement, de la prière et de la pénitence ou il se perdra à tout jamais loin de moi." (b674)
"Le monde tient pour fous ceux qui contredisent ses lois et ses idées. Les plus fous ne sont-ce pas ceux qui se soumettent aux lois et aux exigences du monde qui n'est rien en somme, puisque je le tiens dans mes mains et, qu'en un instant, je pourrais le détruire et le réduire en poussière?" (b689)
"Méditez bien, mot pour mot, tout ce que je vous ai dit, et faites-en votre profit, car si vous passez outre ces avertissement, vous vous perdrez à tout jamais." (b695)
"Quand tous ces écrits que j'ai transmis auront commencé à se répandre, j'attendrai un peu pour voir l'attitude du monde, et des prêtres surtout, devant ce que je leur ai dit. Si les prêtres et le monde ne changent pas, je devrai sévir contre le monde de ce siècle, sans aucun autre avertissment..." (b705)
"Il est d'une importance vitale que tous ces écrits se répandent dans le monde. Si les prêtres ne reprennent leur vie de sacrifice qu'aurait dû être la leur, il est inutile de prétendre vouloir changer le monde; ce sera du temps perdu. Le monde a besoin d'exemple pour l'entraîner à faire ce qu'il doit faire." (b706)
"Il est urgent que le monde change, car le temps presse et vous aurez à me rendre compte de toute votre vie." "... Même si je vous parais dur et sévère, sachez que c'est pour votre bien à tous et à chancun, que je dois me montrer sous ce jour." (b708)
"Je vous ai donné l'essentiel. Tout ce que je pourrais ajouter serait des compléments qui ne sont pas nécessaire pour comprendre ce que j'exige de vous, hommes. Méditez bien tout ce que je vous ai dit, et conformez-y votre vie; en ce faisant vous serez sûrs d'être sur le chemin qui conduit vers moi." "... Dans les écrits que je t'ai donnés, vous pouvez facilement être fixés sur mes pensées envers le monde de ce siècle." (b714)
"Oui, cela est très sérieux et très précieux. Des faveurs comme celles-là ne vous seront plus jamais données." "Même si j'étais descendu à nouveau sur la terre, je n'aurais pu vous dire autre chose. Vous avez là toutes mes pensées. Considérez cela comme venant de la bouche même de Dieu, et agissez en conséquence." (360)
Les Editions O.M.D.C., J.A. Lamarche, ptre, C.P. 413, station "C", Montréal, P.Q., Canada, H2L 4K3
Deutschsprachige Version "Der Weg, der zum Leben führt" ist zu beziehen beim Immaculata-Verlag, CH-9050 Appenzell.
Sie auch: Unseren Blog-Beitrag zum Taschenbuch und denjenigen zur Person des Priesters, der die Schriften der Begnadeten und sie selbst betreut hat.
vendredi 14 avril 2006
Prière pour implorer la béatification de la Mère Marie Alphonsine, fondactrice des Soeurs du Rosaire
Seigneur Jésus, Dieu tout-puissant et miséricordieux, qui prodiguez vos dons et vos grâces aux doux et aux humbles, jetez un regard de complaisance sur votre humble servante, Mère Marie Alphonsine, que vous avez choisie comme un instrument docile pour fonder la Congrégation du Saint Rosaire, destinée à faire vénérer les mystères joyeux, douloureux et glorieux de votre Mère toujours vierge.
Souvenez-vous que votre Servante se dépensa corps et âme au service des pauvres et des miséreux dans cette Terre Sainte, votre patrie terrestre. A ceux qui vous implorent par l'intercession de Mère Marie Alphonsine, accordez, Seigneur, les grâces dont ils ont besoin, afin que votre Servante obtienne un jour, dans votre Eglise, la gloire de la béatification. Amen.
Une fois: Pater, Ave, Gloria, avec l'invocation:
Notre-Dame du Rosaire, priez pour nous.
Reimprimatur Jerusalem, die 29-1-71 + Jacobus Joseph Patriarcha
Souvenez-vous que votre Servante se dépensa corps et âme au service des pauvres et des miséreux dans cette Terre Sainte, votre patrie terrestre. A ceux qui vous implorent par l'intercession de Mère Marie Alphonsine, accordez, Seigneur, les grâces dont ils ont besoin, afin que votre Servante obtienne un jour, dans votre Eglise, la gloire de la béatification. Amen.
Une fois: Pater, Ave, Gloria, avec l'invocation:
Notre-Dame du Rosaire, priez pour nous.
Reimprimatur Jerusalem, die 29-1-71 + Jacobus Joseph Patriarcha
jeudi 13 avril 2006
Mère Marie Alphonsine Danil Ghattas, Fondatrice des Soeurs du Rosaire
La Mère Marie-Alphonsine Danil Ghattas était née à Jérusalem le 4 octobre 1843. Baptisée le jour même, elle fut confirmée, le 18 août 1852, par S.B. Mgr. Valerga.
Dès son enfance elle avait ressenti un vif désir de se consacrer au Seigneur. Aussi, à peine eût-elle fini ses 14 ans qu'elle se présenta comme postulante chez les Soeurs de S. Joseph de l'Apparition.
Dans la suite, au cours d'apparitions, Notre Dame lui confia son désir de fonder une congrégation palestinienne qui porterait le nom de Soeurs du Rosaire. De fait, en 1880, une maison de Jérusalem reçut dans ce dessein 7 jeunes filles pieuses et zélées qui, le 15 décembre 1880 reçurent l'habit religieux des mains du Patriarche, Mgr. Bracco.
Soeur Alphonsine cependant eut encore à affronter bien des difficultés pour cette fondation que la Vierge lui avait demandée ainsi qu'au Père Joseph Tannous, du clergé partriarcal. Avec la permission de Rome, elle put enfin quitter les Soeurs de Saint Joseph et entrer dans la nouvelle Congrégation des Soeurs du Rosaire. Le 7 octobre 1883, elle en reçut l'habit des mains de Mgr. Pascal Appodia, l'auxiliaire du Patriarche. Le 7 mars 1885, elle émit les premiers voeux entre les mains de Mgr. Bracco.
Le 25 juillet 1885, elle fut affectée à la maison de Jaffa de Galilée, près de Nazareth. On rapporte que dans cette paroisse, une fillette de l'école des Soeurs, Nazirah Eid, étant tombée dans une citerne pleine d'eau, Soeur Alphonsine la sauva en lui jetant son chapelet.
En 1886, Soeur Alphonsine alla fonder l'école des filles de Beit Sahour, le village des Pasteurs. En 1887, elle fut envoyée à Salt en Transjordanie avec trois compagnes. Affectée dans la suite à Naplouse, elle fut bientôt obligée de rentrer à Jérusalem à cause de sa santé qui s'était délabrée. Aussitôt rétablie, elle alla à la maison de Zababdeh.
En 1882, on la trouve à Nazareth au chevet de D. Joseph Tannous. Elle conforta dans son agonie le Fondateur qui était aussi son directeur spirituel. Elle revint ensuite à Bethléem pour y ouvrir un atelier de couture. Rentrée à Jérusalem en 1909, elle fut enfin envoyée à Ain Karem pour y ouvrir un orphelinat.
Le 25 mars 1927, en la fête de l'Annonciation, à l'heure qu'elle avait prédite, Mère Alphonsine achevait sa vie de prédestinée et s'endormait dans le Seigneur.
Dès son enfance elle avait ressenti un vif désir de se consacrer au Seigneur. Aussi, à peine eût-elle fini ses 14 ans qu'elle se présenta comme postulante chez les Soeurs de S. Joseph de l'Apparition.
Dans la suite, au cours d'apparitions, Notre Dame lui confia son désir de fonder une congrégation palestinienne qui porterait le nom de Soeurs du Rosaire. De fait, en 1880, une maison de Jérusalem reçut dans ce dessein 7 jeunes filles pieuses et zélées qui, le 15 décembre 1880 reçurent l'habit religieux des mains du Patriarche, Mgr. Bracco.
Soeur Alphonsine cependant eut encore à affronter bien des difficultés pour cette fondation que la Vierge lui avait demandée ainsi qu'au Père Joseph Tannous, du clergé partriarcal. Avec la permission de Rome, elle put enfin quitter les Soeurs de Saint Joseph et entrer dans la nouvelle Congrégation des Soeurs du Rosaire. Le 7 octobre 1883, elle en reçut l'habit des mains de Mgr. Pascal Appodia, l'auxiliaire du Patriarche. Le 7 mars 1885, elle émit les premiers voeux entre les mains de Mgr. Bracco.
Le 25 juillet 1885, elle fut affectée à la maison de Jaffa de Galilée, près de Nazareth. On rapporte que dans cette paroisse, une fillette de l'école des Soeurs, Nazirah Eid, étant tombée dans une citerne pleine d'eau, Soeur Alphonsine la sauva en lui jetant son chapelet.
En 1886, Soeur Alphonsine alla fonder l'école des filles de Beit Sahour, le village des Pasteurs. En 1887, elle fut envoyée à Salt en Transjordanie avec trois compagnes. Affectée dans la suite à Naplouse, elle fut bientôt obligée de rentrer à Jérusalem à cause de sa santé qui s'était délabrée. Aussitôt rétablie, elle alla à la maison de Zababdeh.
En 1882, on la trouve à Nazareth au chevet de D. Joseph Tannous. Elle conforta dans son agonie le Fondateur qui était aussi son directeur spirituel. Elle revint ensuite à Bethléem pour y ouvrir un atelier de couture. Rentrée à Jérusalem en 1909, elle fut enfin envoyée à Ain Karem pour y ouvrir un orphelinat.
Le 25 mars 1927, en la fête de l'Annonciation, à l'heure qu'elle avait prédite, Mère Alphonsine achevait sa vie de prédestinée et s'endormait dans le Seigneur.
samedi 1 avril 2006
Le Crucifix de Limpias
Ouevre d'un artiste espagnol inconnu, vénéré dans l'église de Saint-Pierre de Limpias depuis 1755, et par tout l'univers chrétien depuis 1919, année où des milliers de témoins l'ont vu, à diverses reprises, ouvrir et fermer les yeux et et porter ses regards tantôt vers le ciel, tantôt dans toutes les direction du monde, en même temps qu'ils voyaient du sang sortir des blessures de sa lourde couronne d'épines, inonder sa figure et se répandre sur tout son corps.
On a dit avec raison qu'aucun crucufix n'exprime les souffrances et l'amour de Jésus pour nous comme le Crucifix de Limpias et qu'il est vraiment le crucifix le plus vrai, le plus émouvant et le plus beau qui existe. De nombreuses faveurs temporelles et spirituelles sont obtenues chaque jour par la vénération de ce saint crucifix.
"Venez à moi, vous qui souffrez et ployez sous vos fardeaux, et en moi vous trouverez le repos de vos âmes". (Mat., II, 28-29)
OFFRANDE
Père infiniment miséricordieux, je t'offre par le Coeur douloureux et immaculé de Marie, avec saint Joseph, les neuf Choeurs des Anges et tous les Saints, les adorations, les louanges, l'amour et la sainteté infinis de ton Fils bien-aimé, Notre-Seigneur Jésus-Christ, son Coeur transpercé et brûlant d'amour, tout son Sang répandu pour nous, toutes ses Plaies Sacrées, et en Elles ma vie et la vie et les souffrances de tous les hommes, pour mon salut, le salut du monde entier, la délivrance de toutes les âmes du Purgatoire et la louange de ton amour miséricordieux.
Père très miséricordieux, je t'offre les Plaies de Notre-Seigneur Jésus-Christ, pour les agonisants de ce jour.
Les Compagnon de Jésus, Montréal
On a dit avec raison qu'aucun crucufix n'exprime les souffrances et l'amour de Jésus pour nous comme le Crucifix de Limpias et qu'il est vraiment le crucifix le plus vrai, le plus émouvant et le plus beau qui existe. De nombreuses faveurs temporelles et spirituelles sont obtenues chaque jour par la vénération de ce saint crucifix.
"Venez à moi, vous qui souffrez et ployez sous vos fardeaux, et en moi vous trouverez le repos de vos âmes". (Mat., II, 28-29)
OFFRANDE
Père infiniment miséricordieux, je t'offre par le Coeur douloureux et immaculé de Marie, avec saint Joseph, les neuf Choeurs des Anges et tous les Saints, les adorations, les louanges, l'amour et la sainteté infinis de ton Fils bien-aimé, Notre-Seigneur Jésus-Christ, son Coeur transpercé et brûlant d'amour, tout son Sang répandu pour nous, toutes ses Plaies Sacrées, et en Elles ma vie et la vie et les souffrances de tous les hommes, pour mon salut, le salut du monde entier, la délivrance de toutes les âmes du Purgatoire et la louange de ton amour miséricordieux.
Père très miséricordieux, je t'offre les Plaies de Notre-Seigneur Jésus-Christ, pour les agonisants de ce jour.
Les Compagnon de Jésus, Montréal
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