O Marie, Vierge puissante et Mère de miséricorde, Reine du ciel et refuge des pécheurs, nous nous sonsacrons à votre Coeur immaculé. Nous vous consacrons notre être et notre vie tout entière; tout ce que nous avons, tout ce que nous aimons, tout ce que nous sommes. A vous nos corps, nos âmes. A vous nos foyers, nos familles, notre patrie. Nous voulons que tout en nous, tout autour de nous vous appartienne et participe aux bienfaits de vos bénédictions maternelles. Et pour que cette consécration soit vraiment efficace et durable, nous renouvelons aujourd'hui à vos pieds, o Marie, les promesses de notre baptême et de notre première Communion. Nous nous engageons à professer courageusement et toujours les vérités de la Foi, à vivre en catholiques pleinement soumis à toutes les directions du Pape et des Evêques en communion avec lui. Nous nous engageons à observer les commandements de Dieu et de l'Eglise, et particulièrement la sanctification du Dimanche. Nous nous engageons à faire entrer dans notre vie - autant qu'il nous sera possible - les consolantes pratiques de la Religion chrétienne et surtout la sainte Communion. Nous vous promettons enfin, ô glorieuse Mère de Dieu et tendre Mère des hommes, de mettre tout notre coeur au service de votre culte béni, afin de hâter, d'assurer, par le règne de votre Coeur immaculé, le règne du Coeur de votre adorable Fils dans nos âmes et dans toutes les âmes, dans notre cher pays et dans tout l'univers, sur la terre comme au ciel. Ainsi soit-il.
(3 années d'indulgence - 21 février 1907.)
Secrétariat de Marie-Médiatrice, Boul. de Diest, 121, Louvain. - Cum consensu Ordinarii, J. Naulaerts, can. lib. cenc.
dimanche 29 octobre 2006
Amende Honorable au Coeur Immaculé de Marie
O Sainte Vierge Marie, Mère de Dieu, Reine des anges et des hommes, nous rendons grâces à la très sainte et adorable Trinité des glorieux privilèges dont vous avez été favorisée. Nous croyons tout ce que l'Eglise enseigne sur vos grandeurs, votre puissance, votre bonté et vos vertus.
Nous croyons spécialement que votre conception a été immaculée, qu'en vous la maternité divine a été unie à une inviolable et perpétuelle virginité; que, par la plénitude des grâces que vous avez reçues et par votre fidélité à y correspondre, vous êtes parvenue au plus haut degré de sainteté et avez été élevée au-dessus de toutes les créatures humaines et angéliques; que, par votre participation à la Rédemption du monde, vous avez mérité le titre de Corédemptrice du genre humain; que, par votre association à la dispensation des grâces, vous en êtes devenue la trésorière et la porte du ciel; que communiquant ainsi aux âmes la grâce qui est leur vie surnaturelle véritable, vous êtes réellement la Mère des vivants; qu'enfin vous avez été investie de la royauté universelle, et que vous êtes devenue la souveraine et la reine des anges et des hommes.
Nous aimons à publier que vous avez la toute-puissance suppliante, et que vous n'usez de cette grande puissance que pour le salut des âmes et la consolation des affligés, en allant toujours au secours de quiconque vous invoque et en prévenant souvent ceux qui ne vous invoquent pas!
O Mère de la divine grâce, refuge des pécheurs et puissant secours des chrétiens, recevez nos humbles remerciements pour les grâces innombrables que vous avez obtenues à l'Eglise entière et à chacun de ses enfants. Nous vous offrons le tribut de notre reconnaissance pour tous vos bienfaits.
Pardonnez-nous, ô Reine et Mère de miséricorde, toutes nos infidélités envers vous. Plus que jamais, nous promettons de vous honorer, de vous aimer et de vous imiter avec le secours de la grâce divine. En esprit de réparation nous vous renouvelons en ce moment la donation perpétuelle de nous-mêmes, de ce que nous sommes et de ce que nous avons. A cette donation nous nous montrerons fidèles en vivant sous votre dépendance et en agissant toujours selon vos intentions, pour votre gloire et votre règne qui est le gage de l'aurore du règne de votre Jésus. En évitant le péché et tout ce qui y conduit, nous prendrons part aux inimitiés divines que le Seigneur a déposées dans votre coeur à l'égard de Satan.
Pardon, ô bonne et tendre Mère, pour tous les blasphèmes proférés contre vous par des paroles ou par des écrits!... Pardon pour toutes les profanations de vos pieuses images!... Pardon pour tous les outrages et ingratitudes qui ont blessé votre Coeur maternel! Pardon pour l'ignorance et l'indifférence coupable dans laquelle vivent à votre égard tant de chrétiens. Pardon pour toutes les infidélités à la grâce des âmes qui vous sont consacrées!...
Nous désirons réparer dignement ces outrages en nous unissant aux choeurs des Anges, aux saints et aux élus qui vous louent dans le ciel et sur la terre.
Agréez l'expression de notre amour filial, montrez que vous êtes notre Mère, et rendez-nous dignes d'être toujours considérés comme vos serviteurs et vos enfants. Ainsi soit-il.
Nous croyons spécialement que votre conception a été immaculée, qu'en vous la maternité divine a été unie à une inviolable et perpétuelle virginité; que, par la plénitude des grâces que vous avez reçues et par votre fidélité à y correspondre, vous êtes parvenue au plus haut degré de sainteté et avez été élevée au-dessus de toutes les créatures humaines et angéliques; que, par votre participation à la Rédemption du monde, vous avez mérité le titre de Corédemptrice du genre humain; que, par votre association à la dispensation des grâces, vous en êtes devenue la trésorière et la porte du ciel; que communiquant ainsi aux âmes la grâce qui est leur vie surnaturelle véritable, vous êtes réellement la Mère des vivants; qu'enfin vous avez été investie de la royauté universelle, et que vous êtes devenue la souveraine et la reine des anges et des hommes.
Nous aimons à publier que vous avez la toute-puissance suppliante, et que vous n'usez de cette grande puissance que pour le salut des âmes et la consolation des affligés, en allant toujours au secours de quiconque vous invoque et en prévenant souvent ceux qui ne vous invoquent pas!
O Mère de la divine grâce, refuge des pécheurs et puissant secours des chrétiens, recevez nos humbles remerciements pour les grâces innombrables que vous avez obtenues à l'Eglise entière et à chacun de ses enfants. Nous vous offrons le tribut de notre reconnaissance pour tous vos bienfaits.
Pardonnez-nous, ô Reine et Mère de miséricorde, toutes nos infidélités envers vous. Plus que jamais, nous promettons de vous honorer, de vous aimer et de vous imiter avec le secours de la grâce divine. En esprit de réparation nous vous renouvelons en ce moment la donation perpétuelle de nous-mêmes, de ce que nous sommes et de ce que nous avons. A cette donation nous nous montrerons fidèles en vivant sous votre dépendance et en agissant toujours selon vos intentions, pour votre gloire et votre règne qui est le gage de l'aurore du règne de votre Jésus. En évitant le péché et tout ce qui y conduit, nous prendrons part aux inimitiés divines que le Seigneur a déposées dans votre coeur à l'égard de Satan.
Pardon, ô bonne et tendre Mère, pour tous les blasphèmes proférés contre vous par des paroles ou par des écrits!... Pardon pour toutes les profanations de vos pieuses images!... Pardon pour tous les outrages et ingratitudes qui ont blessé votre Coeur maternel! Pardon pour l'ignorance et l'indifférence coupable dans laquelle vivent à votre égard tant de chrétiens. Pardon pour toutes les infidélités à la grâce des âmes qui vous sont consacrées!...
Nous désirons réparer dignement ces outrages en nous unissant aux choeurs des Anges, aux saints et aux élus qui vous louent dans le ciel et sur la terre.
Agréez l'expression de notre amour filial, montrez que vous êtes notre Mère, et rendez-nous dignes d'être toujours considérés comme vos serviteurs et vos enfants. Ainsi soit-il.
dimanche 22 octobre 2006
Prière à Sainte Germaine de Pibrac
Souvenez-vous, ô très douce Germaine, de vos frères et de vos soeurs qui gémissent et qui souffrent dans cette vallée de larmes.
Souvenez-vous qu'ils espèrent en vous, qu'ils attendent de vous secours dans leurs épreuves, consolation dans leurs douleurs.
Souvenez-vous que vous aussi avez gémi, que vous aussi avez pleuré, que vous aussi avez connu la pauvreté, l'isolement, l'humiliation et la souffrance.
Et maintenant, dans votre gloire, souvenez-vous de nos misères; dans votre puissance, souvenez-vous de notre infirmité; dans votre bonheur, souvenez-vous de nos larmes!
Formez-nous à l'école de votre douceur, de votre patience, de votre foi, de votre charité. Puis, au sortir de ce monde, recevez-nous dans l'éternelle Patrie.
Souvenez-vous qu'ils espèrent en vous, qu'ils attendent de vous secours dans leurs épreuves, consolation dans leurs douleurs.
Souvenez-vous que vous aussi avez gémi, que vous aussi avez pleuré, que vous aussi avez connu la pauvreté, l'isolement, l'humiliation et la souffrance.
Et maintenant, dans votre gloire, souvenez-vous de nos misères; dans votre puissance, souvenez-vous de notre infirmité; dans votre bonheur, souvenez-vous de nos larmes!
Formez-nous à l'école de votre douceur, de votre patience, de votre foi, de votre charité. Puis, au sortir de ce monde, recevez-nous dans l'éternelle Patrie.
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