"Nous avons reconnu l'Amour que Dieu a pour nous et nous y avons cru". (I Jn III, 16)
Je veux que les hommes raniment leur foi et leur amour et qu'ils vivent de confiance et d'intimité avec Celui qu'ils aiment et qui les aime.
Je veux qu'ils Me cherchent au dedans d'eux-mêmes puisqu'ils savent que l'âme en état de grâce est la demeure de l'Esprit-Saint.
Et là, qu'ils Me voient tel que Je suis, c'est à dire comme Dieu, mais Dieu d'Amour.
Qu'ils aient plus d'amour que de crainte, qu'ils croient à mon Amour et qu'ils n'en doutent jamais...
... Lorsque leurs faiblesses les accablent, peut-être même leurs fautes, alors la tristesse les saisit à la pensée que Je n'ai plus pour eux le même Amour qu'autrefois.
Ils n'ont pas compris ce qu'est mon Amour, car ce sont précisément leurs faiblesses et leurs fautes qui inclinent ma Bonté vers eux.
Et lorsque, reconnaissant leur impuissance et leur faiblesse, ils s'humilient et viennent à Moi en toute confiance, c'est alors qu'ils Me glorifient plus encore qu'avant leur faute.
Que les hommes n'aient pas peur de Moi... Que les pécheurs ne s'éloignent pas de Moi. Mon Amour ne refuse jamais le pardon à celui qui s'humilie, surtout à celui qui le demande avec une vraie confiance.
"Pourquoi craignez-vous, hommes de peu de foi?" (Mt 8, 26)
De même quand ces hommes prient pour eux ou pour d'autres, s'ils hésitent, s'ils doutent de Moi, ils ne M'honorent pas. Tandis qu'ils Me glorifient quand ils attendent avec sécurité ce qu'ils demandent, sachant bien que Je ne puis leur refuser que ce qui ne convient pas à leur âme.
Quand le centurion vient Me supplier de guérir son serviteur, il Me dit avec une grande humilité: "Je ne suis pas digne que Vous entriez dans ma maison" mais plein de foi et de confiance il ajouta: "cependant, Seigneur, dites seulement une parole, et mon serviteur sera guéri".
Cet homme connaissait mon Cœur. Il savait que Je ne puis résister à la supplication de ceux qui attendent tout de Moi. Il M'a grandement glorifié car à l'humilité il a joint la ferme et entière confiance.
Oui, cet homme connaissait mon Cœur.
C'est par la confiance que les hommes obtiendront d'innombrables grâces non seulement pour eux, mais aussi pour les autres, et c'est ce que Je veux qu'ils comprennent à fond, car Je désire que tous révèlent mon Amour à ceux qui ne Le connaissent pas.
Extrait de "Un appel à l'Amour" Josefa Menéndez, avec l'Imprimatur Julius Geraldus Saliège, Archevêque de Toulouse 2-1-1944. S'adresser au Sacré-Coeur, 16, rue Saint-Vincent-de-Paul, F-34000 Montpellier - 9, rue des Feuillants F-86034 Poitiers.
lundi 28 juillet 2008
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